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    Les ténèbres glacées ne dissous nos rêves

    Visions enflammées du diable chassées d'une main blanche

    Qui réclame le sommeil, le repos de l'âme

    Mène dans l'obscurité

    La conscience à une flamme miraculeusement animée

    Un frisson de souffrance ramène à la vie

    L'existence du corps

    Lascivement meurtrit d'un objet innocent

    La main qui agit dans l'ombre « conscience »

    N'a guerre le choix elle entend « souffrance »

    Qui amplifie sa peine...

    Perpétuité dans l'âme

    Qui parfois rencontre un miroir seulement pour se dire

    « Regarde toi, faible et méprisable ! »


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    Arracher à nos souffles de tristesse

    Un maigre soupir d'espoir

    Pour un coeur qui bat « peut »

    Mais n'aspire qu'à la vie

    Le regret de ne pas voir

    Plus loin que nous

    Aux frontières de nos âmes

    Qui s'évadent parfois

    A la lisière de nos pensées

    Qui se troublent dans la nuit

    Pour s'égarer à la rosée

    Et renaîtrent au petit matin

    Dans un soupir de vie

    Faible et incertain...


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    La mort est une pensée

    Un fleuve

    Une envie parfois

    Une inspiration

    La mort

    N'est jamais une ennemie

    Jamais une amie

    Elle est neutre

    La mort est un regret

    Une colère parfois

    Un soupir

    Une délivrance

    Que l'on tente souvent

    Mais ne désir jamais...


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    Qui un jour a dit

    Le noir comme le nuit

    Est symbol de chagrin

    De peine

    D'oubli...
    Pourquoi serai-ce ainsi

    La vie n'affiche pas

    Seulement son bon côté

    Pourquoi dans ce cas

    Ne pas exprimer le mauvais

    Jamais je n'ai dis

    Que j'aimais la mort

    La tristesse ou l'oubli

    Mais seulement une couleur

    Serai-ce un crime ?


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    La mort

    Le chagrin ou la souffrance saignerons sur ton oreiller

    Parceque la nuit toute joie s'éfface

    Dans la solitude reviennent nos peine oublier...

    Lorsqu'alors tes larmes d'ombre

    Tachent l'immaculé oreiller de ton enfance


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