-
Les malheureux
Ephémère du temps perdu
comme une mer de solitude
je regarde le sombre futur
qui n'existe déja plus...
Comme un refuge pour vos doutes
ou les larmes de vos peines
je serrai les mots de votre souffrance
votre amie dans toutes vos nuits d'errance...
Prenez mon souffle pour vos soupirs
prenez mes yeux pour vos larmes
je ne suis qu'un vide pour accueillir
les malheureux et leurs âmes.
27.III.2007
-
Commentaires